L’APP SMARTPHONE SafetyNex POURRAIT REDUIRE DE 20%
LE NOMBRE D’ACCIDENTS DE LA ROUTE
Nouveau papier de Nexyad

L’APP SMARTPHONE SafetyNex POURRAIT REDUIRE DE 20%
LE NOMBRE D’ACCIDENTS DE LA ROUTE

English translation

par NEXYAD

I – TELEMATIQUE EMBARQUEE ET ASSURANCE AUTOMOBILE : RAPPELS

La télématique embarquée permet de mesurer en situation le comportement d’un conducteur, et de ce fait, les assureurs auto se sont assez tôt lancés dans l’aventure, avec, il faut le dire, plus ou moins de succès.

Les applications les plus simples qui ont été déployées sont :
. localiser les véhicules volés
. mesurer les usages du conducteur, et en particulier le nombre de km parcourus pour proposer des tarifs au km (un véhicule qui ne roule jamais n’aura jamais d’accident !)

Mais le métier principal de l’assureur tourne autour de la notion de risque, et assez vite, on a vu des tentatives de détection automatique des comportements à risque. Le plus répandu est la détection des « freinages sévères », qui s’appuie sur l’hypothèse selon laquelle un freinage sévère révèle un manque d’anticipation, et par là-même une conduite dangereuse. Nous savons maintenant que cette hypothèse est totalement fausse [1], mais elle est encore présente à l’esprit de pas mal d’assureurs.

Le manque de résultats de ces déploiements a d’ailleurs conduit des assureurs allemands et américains à abandonner la télématique [2].

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Télématique auto, mesure du risque de conduite,
respect des libertés individuelles

“Télématique auto, mesure du risque de conduite, respect des libertés individuelles” est le nouveau white paper de Nexyad, qui explique quelles sont les points importants à vérifier sur une application de télématique embarquée destinée à évaluer le risque que prend le conducteur pendant sa tâche de conduite.

English translation

Le calcul du risque nécessite de disposer de données contextualisées qui sont intrinsèquement confidentielles, personnelles, et donc qui ne doivent en aucun cas être enregistrées sur des serveurs informatiques dans un cloud car elles contiennent, directement ou indirectement, des informations sur des infractions (en France c’est interdit : respect du code pénal et des règles CNIL).

Lien vers le white paper